Les exigences en matière de gouvernance d’entreprise s’accroissent. Elles renforcent
le rôle des instances d’administration et de surveillance
et les responsabilités de leurs acteurs.
Aux côtés de la hard law (des lois et des règlements), la soft lawprend une importance croissante. Les prescriptions et recommandations de l’OCDE, de l’Autorité des Marchés Financiers, de l’ACPR, des Codes de Gouvernance, des Associations professionnelles visent d’abord les sociétés cotées et les entreprises du secteur financier. Mais les attentes en matière de “bonne pratique” de gouvernance s’étendent progressivement à l’ensemble des entreprises et des organisations, quels que soient leur statut ou leur secteur d’activité.
Formation à la gouvernance d’entreprise, quels enjeux ?
Chaque acteur de la gouvernance doit être à même de servir en toutes circonstances l’intérêt social de la société ou de l’organisation dont il est membre. Les circonstances qui amènent à vouloir faire évoluer les compétences du Conseil et de ses membres peuvent être très différentes. Par exemple :
Les référentiels évoluent, les Codes de gouvernance sont actualisés, ne sont pas les mêmes d’un pays à un autre
Le Conseil prend la décision de dissocier les fonctions de Président et celle de Directeur Général
Le périmètre de l’entreprise change à l’occasion d’une opération stratégique
La composition du Conseil ou des Comités évolue, de nouveaux Comités sont créés
Le Conseil souhaite consacrer plus de temps à son rôle en matière de stratégie
Un administrateursalarié rejoint le Conseil
Un administrateur référent est désigné
L’actionnariat familial veut renforcer sa propre gouvernance
Governisis aborde tous ces thèmes en les inscrivant dans l’un ou l’autre des axes majeurs suivants :